7 bonnes raisons de visionner la série télé «The Marvelous Mrs. Maisel» – Bible urbaine

Cinéma

7 bonnes raisons de visionner la série télé «The Marvelous Mrs. Maisel»

7 bonnes raisons de visionner la série télé «The Marvelous Mrs. Maisel»

Plongez dans un univers féministe inattendu

Publié le 15 février 2019 par Emilie Matthews

Crédit photo : Tous droits réservés

Vous avez sûrement entendu le nom de cette série suite à la cérémonie des Golden Globes où l’actrice principale, Rachel Brosnahan, a remporté le prix de la meilleure actrice dans la catégorie «Série télévisée musicale ou comédie» pour la seconde fois dans le rôle de Miriam «Midge» Maisel. Mais peut-être que vous ne l’avez pas encore regardé, puisqu’on n’en entend pas beaucoup parler à Montréal... Ou peut-être est-ce, tout simplement, parce que vous n’êtes pas abonné à Amazon Prime! C'est l’heure pour vous de vous inviter chez un ami qui est abonné, quant à lui, et de lui proposer une séance de binge-watching cette fin de semaine. En plus, vous resterez à l’abri des caprices météorologiques du mois de février montréalais que l’on connaît si bien!

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1. Une héroïne atypique

Miriam «Midge» Maisel est une jeune femme qui a une vie soi-disant «parfaite»: un grand appartement luxueux, un mari qui gagne un salaire élevé, de beaux enfants, des parents aimants, et une meilleure amie avec qui elle suit des cours de Pilates. Cependant, ce monde idyllique s’effondre le jour où son mari lui annonce qu’il a une liaison avec sa secrétaire depuis des mois.

Ce soir-là, elle se retrouve sur scène, par hasard, et elle fait rire son public jusqu’aux larmes sans trop d’efforts. Elle fait rire en riant d’elle-même. Quoi de plus beau que la capacité de transformer sa douleur en blagues? Elle finit par quitter tous les aspects parfaits et rassurants de son existence: elle travaille pour la première fois pour dépendre d’elle-même et pour pouvoir entamer sa carrière de comique.

Mrs. Maisel devient le symbole d’une femme indépendante et originale qui s’impose sans timidité dans un domaine où les femmes ne sont pas accueillies à bras ouverts pour l’époque. Certes, il y avait quelques femmes humoristes sur scène à la fin des années 1950, telles que Totie Fields, Jean Carroll, Joan Rivers… mais nous les comptions sur les doigts d’une main tant il y en avait peu.

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